Auto-agression / auto-coupure

Self-harm, also known as self-injury, is defined as the intentional, direct injuring of body tissue, done without the intent to commit suicide. Other terms such as cutting and self-mutilation have been used for any self-harming behavior regardless of suicidal intent. The most common form of self-harm is using a sharp object to cut one's skin. Other forms include behaviour such as burning, scratching, or hitting body parts. While older definitions included behaviour such as interfering with wound healing, excessive skin picking (dermatillomania), hair pulling (trichotillomania) and the ingestion of toxic substances or objects as self-harm, in current terminology those are differentiated from the term self-harm.

10 questions sur... l'automutilation chez l'adolescent et le jeuVanessa Germain10 questions sur... L'automutilation chez les adolescents et les jeunes adultes Vanessa Germain et Edith St-Jean-Trudel, psychologues 978-2-924804-03-2 Pourquoi certains jeunes en viennent-ils à s'automutiler??? Est-ce un geste suicidaire??? Ces jeunes sont-ils influencés par ce qu'ils voient sur Internet??? Découvrir qu'une personne s'automutile peut être très déstabilisant. Les proches vivent souvent beaucoup d'inquiétude et d'impuissance et ils ne savent pas nécessairement comment réagir. Le présent ouvrage propose une compréhension de ce comportement en répondant de manière spécifique à dix questions fréquemment posées et, surtout, en offrant des stratégies et des pistes d'intervention éprouvées pour mieux accompagner les jeunes touchés et pour les aider à surmonter leurs difficultés de manière saine et efficace. Voici donc un guide rassurant, qui saura répondre aux interrogations des intervenants et des parents préoccupés par le problème de l'automutilation.Auto-mutilations et auto-offenses (French Edition)Hugues ScharbachLes gestes auto-dirigés visant « à se faire mal » peuvent être approchés de façon très diverse, en fonction de la personnalité et selon leur intensité, leurs conséquences, leur intentionnalité. Pour les formes mineures, nous avons retenu le terme « auto-offensif » et celui d’« auto-vulnérant » pour celles entraînant des lésions réversibles. Au geste responsable d’une amputation ou d’un dommage systémique significatif serait à réserver la désignation « auto-mutilation ». L’aspect répétitif a fait discuter l’opportunité d’individualiser un syndrome. La discussion étiopathogénique porte sur un déterminisme se situant au-delà du principe de plaisir, comme recherche d’une confirmation de soi, comme tentative d’endiguer les menaces de perte narcissique et les angoisses primitives suscitées par des confrontations au réel traumatisantes en l’absence d’espace de l’illusion, sans méconnaître, dans certains cas, la pesée de facteurs organiques.Automutilations: Comprendre et soigner (French Edition)Vincent Trybou, Marianne Kédia, Baptiste BrossardQu’est-ce que l’automutilation ? Voici le premier ouvrage en français et multidisciplinaire sur ce sujet. Ce livre permet d’appréhender la complexité de ce trouble qui est à l’interface de différentes pathologies et qui est présentée pour la première fois selon l’éclairage de la dysrégulation émotionnelle ou gestion inadaptée des émotions. Ce livre a pour objectif d’apporter une aide efficace aux soignants et aux éducateurs. Il propose des pistes concrètes afin d’accompagner les personnes dans le processus de soin : • un vaste protocole intégratif (TCC, ACT, pleine conscience, thérapie rogérienne, thérapie des schémas, thérapie dialectique) ; • des fiches pratiques prêtes à l’emploi et des techniques expliquées pour faciliter le suivi psychothérapeutique ; • des conseils pour recevoir un adolescent et sa famille ; • et une partie spécifique pour le corps enseignant et les infirmières scolaires. Vincent Trybou est psychologue clinicien et psychothérapeute TCC. C’est à partir de son expérience de l’instabilité émotionnelle et de l’impulsivité des patients bipolaires qu’il présente une approche pratique de la dysrégulation émotionnelle des automutilations et des différents modèles de thérapie. Il est coauteur de Soigner sa cyclothymie avec le docteur Élie Hantouche. Baptiste Brossard, docteur en sociologie (école normale supérieure de Paris–EHESS), est chercheur à l’Université de Montréal. Sa thèse, basée sur les témoignages de soixante-dix personnes qui s’automutilent, propose une analyse approfondie des mécanismes sous-jacents à cette pratique. Marianne Kédia est docteur en psychologie clinique et psychothérapeute de formation cognitivo-comportementale et humaniste. Elle est spécialiste du psychotraumatisme, tant dans sa pratique clinique, en associations ou à l’hôpital, que dans ses travaux de recherche scientifique.Cicatrices (French Edition)Mélissa HAÏMAAutomutilation, scarifications, blessures volontaires. Qu'est ce que c'est? Il s'agit de blessures infligées volontairement sur soi-même pour soulager une souffrance qu'on ne peux pas exprimer. Qui est concerné? Les études réalisées avancent des chiffres avoisinants 10% des adolescents (fille en très grande majorité). Si vous êtes professionnels de la santé ou travaillé en milieu scolaires vous en croisé surement régulièrement sans le savoir. Dans votre entourage s'il y a des adolescentes ou de jeunes adultes il est probable que l'une d'elles soit concernée. Il y a pourtant peu d’écrits sur ce thème, vos mains suffisent pour les compter. Je m'appelle Mélissa, j'ai 30 ans. J'ai passée 10 ans à vivre en me sacrifiant quotidiennement. On cherche souvent à aider ceux qui sont suicidaires mais l'aspect le plus important de notre vie, le quotidien, personne ne sait comment aider. Je voulais partager ce que j'ai vécu pour toute celles qui sont dans la même situation et pour leur proche.Drame de l'enfant doué (Le) [nouvelle édition]Alice MillerContrairement à ce que le titre a souvent pu laisser penser, il ne s’agit pas d’un livre sur les enfants surdoués. On y trouvera par contre une recherche autour de l’interrogation : pourquoi tant d’adultes doués, qui réussissent dans la vie, souffrent-ils de se sentir étrangers à eux-mêmes, intérieurement vides ? Depuis la première parution de ce livre en 1979, les réponses d’Alice Miller à cette question ont aidé de nombreux lecteurs à trouver un accès à leur propre histoire et à découvrir que la partie précieuse de leur Soi leur était restée cachée jusqu’alors (leur « drame »). Ses lecteurs sont encouragés à chercher les raisons de leur souffrance actuelle dans leur histoire, l’histoire du petit enfant qui ne devait vivre que pour les besoins de ses parents en ignorant ou niant ses propres besoins. Au lieu de payer plus tard avec des dépressions et de nombreuses maladies corporelles pour cette auto-mutilation, l’adulte peut s’en libérer en trouvant l’empathie pour l’enfant qu’il a été et pour sa souffrance muette. Aussitôt qu’il assume sa vérité, bloquée si longtemps dans son corps, il peut commencer à regagner, pas à pas, sa vitalité, la vie authentique qu’il n’avait pas osé vivre. La perception par l’auteur du vécu réel de l’enfant n’est plus en lien avec celle de la psychanalyse, à laquelle Alice Miller reproche de rester dans la vieille tradition qui accuse les enfants et protège les parents, autant dans la théorie que dans la pratique où les rapports des traumatismes réels sont interprétés comme fantasmes.L'âme à vif: 22. L'automutilation (French Edition)Corinne De VaillyLa lame de l’exacto va et vient. Clic, clic! De plus en plus vite. Je l’approche du bout de l’un de mes doigts. Des frissons me parcourent. J’anticipe la douleur de la coupure et, en même temps, elle semble tellement… libératrice! Juste un petit trait, tout doucement, pour voir… Je n’appuie pas trop fort, je ne veux pas mourir! Je veux seulement contrôler ma souffrance intérieure. Comment? Je l’enterre sous une autre souffrance: physique, celle-là. Quel sentiment de puissance! Mais… vais-je pouvoir arrêter? À la suite de l’accident de son frère, dont elle se sent responsable, Angélique est submergée par le mal-être qu’elle ressentait depuis des années et que la tragédie a accentué. Elle s’isole graduellement avec sa douleur, et sa lame devient une bouée de sauvetage. Mais, inconsciemment, Angélique espère-t-elle que quelqu’un découvre ce qu’elle se fait et la sauve… d’elle-même? Le nombre d’adolescents en détresse qui commettent un acte d’ automutilation est en constante augmentation. Ce comportement serait adopté autant par les filles que les garçons, et la plupart auraient recours à cette solution pour évacuer un surplus d’émotions qu’ils se sentent incapables de gérer. Le soulagement est immédiat, mais temporaire, et c’est pourquoi il peut être très difficile de soigner ce trouble.Le corps blessé: Automutilation, psychiatrie et psychanalyse (French Edition)Claire MorelleL’automutilation est un comportement bien connu des psychiatres, psychologues, infirmiers, éducateurs travaillant avec des patients gravement perturbés. Cet ouvrage étudie l’automutilation en psychiatrie générale et, plus particulièrement, chez des personnes atteintes d’arriération mentale, sous l’éclairage de la psychanalyse. Les différentes modalités, et les sens possibles du comportement automutilant, sont recherchés dans les mythes et les rituels, dans le développement du jeune enfant, comme dans la pratique psychiatrique institutionnelle et ambulatoire. De nombreux exemples cliniques illustrent les tentatives de diagnostic et de traitement. Cet ouvrage, qui fait le point sur les thérapeutiques actuelles en matière d’automutilation, suscite une réflexion sur l’arriération mentale, en intégrant ce syndrome dans les structures de personnalité reconnues en psychanalyse, comme la névrose, la psychose et la perversion. Il s’adresse à des cliniciens, psychologues ou médecins, aux psychanalystes, aux éducateurs et travailleurs sociaux des services de psychiatrie institutionnelle.Le Syndrome de Coupure (Auto-Mutilation)Verónica Gonzáles, Juan Daniel Valeriano Yassel C CondoriL'objectif principal de cette étude était de décrire les caractéristiques d'un cas de syndrome de coupure, une étude réalisée dans la ville de Tarija-Bolivie. Il s'agit de l'acte d'automutilation visant à modifier un état d'esprit, à mettre fin à un état de confusion émotionnelle ou à atténuer une situation de stress, en infligeant des dommages physiques au corps. L'étude correspond au type de conception descriptive, la méthode de l'étude de cas a été utilisée. Le type d'échantillonnage était intentionnel; la technique utilisée pour recueillir les informations était l'interview, en utilisant l'approche qualitative pour le traitement des données. Il a été conclu que les éléments qui ont provoqué la coupure étaient des problèmes affectifs, le besoin ou le manque d'affection, des sentiments de solitude, la curiosité accompagnée de l'influence des amis. Présence de signes et symptômes tels que déni, nervosité, sentiment de culpabilité, honte de ce qui amène la personne à cacher les blessures avec des vêtements. Présence d'un comportement compulsif; relations émotionnelles instables et de courte durée, présence d'insécurité, de jalousie et de méfiance.

Automutilation - Interview de Baptiste Brossard au Magazine de la santé, FR2, 4 juin 2014

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Comment comprendre l’automutilation à l’adolescence ? - X. Pommereau - Yapaka.be

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